Pour des raisons que l’on ignore, il y a certaines personnes qu’on aime et d’autres un peu alors même qu’elles nous sont inconnues. Il suffit parfois d’une attitude, d’une phrase ou d’un simple feeling pour que l’on se forge une opinion sur quelqu’un que l’on pense connaitre alors qu’on ne la voit qu’à travers un écran.
Difficile de comprendre ce sentiment totalement subjectif lorsque nous n’avons jamais rencontré physiquement cette personne, ni eu l’occasion d’échanger avec elle d’ailleurs, n’est-ce pas ?
En plus des deux premiers cas, je dirais qu’il existe une autre catégorie, celle des personnes qui nous intriguent. Pour ce qui me concerne, Kemtaan alias Charles DARBOUX, artiste sénégalo-béninois mais pas que, fait définitivement partie de cette catégorie.
Ici, je parle d’une intrigue positive, qui suscite en moi une certaine curiosité. Pour être très honnête, l’artiste ne m’intrigue pas beaucoup, comme je l’ai avoué au cours de notre échange, la toile regorge de suffisamment de contenus permettant de découvrir Kemtaan, ses œuvres, son parcours etc.
Charles par contre, l’homme à l’origine de Kemtaan on ne sait pas grand chose de lui et c’était clairement lui que je voulais découvrir. Autant vous dire que j’ai été servie !
J’ai eu le plaisir de découvrir un homme passionné, drôle et profondément attaché à sa liberté.
J’aurais clairement pu discuter des heures durant avec Charles, c’est d’ailleurs ce que nous avons fait le jour de notre rencontre pour enregistrer cet épisode. En discutant avec lui, j’ai eu cette impression de discuter avec un vieil ami perdu de vue depuis longtemps. J’ai beaucoup apprécié ce moment privilégié.
À travers cet épisode, je vous invite à découvrir une partie de Charles DARBOUX, une âme libre comme j’aime l’appeler. Pour le reste de notre conversation, je la garde jalousement pour moi. Ce sera peut-être l’histoire d’un autre jour 😉
Bonne écoute !
**Entendu dans l’épisode : EYA Centre Communautaire, Fanicko